Édition 2017

PARTICIPANTS

Pour l’édition 2017, les participants ont une nouvelle fois été accueillis au musée Rodin de Meudon, exceptionnellement ouvert à cette occasion. En cette année de commémoration du centenaire de la mort de l’artiste, le musée a proposé aux groupes de se familiariser avec l’œuvre du sculpteur à travers l’atelier « Rodin 100 fins ».

La programmation C’est mon patrimoine ! a été conçue avec Geoffroy Terrier, artiste plasticien diplômé de l’Université de Rennes et de l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Bourges dont le travail autour du papier mêle sculpture et dessin.

L’artiste a invité les jeunes à regarder autrement l’œuvre de Rodin par la production de travaux plastiques convoquant différents médiums comme le dessin et le moulage.

Les 9 journées d'activités ont ouvert sur une installation collective et un temps de restitution commun le samedi 4 novembre.


Participants

Structure d'accueil participantes

  • L’association Cerise à Nanterre
  • L’association Henri Rollet à Issy-les-Moulineaux
  • L’Ecoute du Noyer doré à Antony
  • L’association Ensemble pour la Réussite à Colombes
  • L’association Mosaic à Nanterre
  • L’association IDSU à Chatenay-Malabry


Restitution

PARCOURS DÉCOUVERTE ET ATELIERS « RODIN 100 FINS » SOUS LA CONDUITE DE L'ARTISTE PLASTICIEN GEOFFROY TERRIER

(vidéo)

© Agence photographique du musée Rodin, Jérome Manoukian


Du 23 octobre au 3 novembre 2017, neuf groupes ont été reçus pour une journée complète d’activités au musée Rodin de Meudon.


Les jeunes, guidés par une médiatrice du musée, ont eu l’occasion de se familiariser avec l’œuvre de Rodin au cours d’une visite du site. Ils ont pu découvrir la villa-atelier où vécut l’artiste et le musée où sont présentés les plâtres et les maquettes de ses sculptures emblématiques.


En écho à la visite, les groupes ont ensuite expérimenté différentes techniques de création (dessin, moulage, volumétrie) au cours d’un atelier animé par Geoffroy Terrier. 


L’artiste plasticien a proposé un projet original et inédit qui interrogeait notre regard sur l’ombre et la lumière grâce à l’utilisation de matériaux translucides comme le papier calque et le scotch. Les processus de création propres à Rodin comme la fragmentation, l’assemblage et les abattis, observés lors de la découverte des collections, ont été réinvestis lors des ateliers autour de déclinaisons de mains, bras et jambes.


L’ensemble des réalisations a donné lieu à une restitution présentée au musée Rodin de Meudon dans un accrochage collectif.